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3. Hadès, un site exploitant les spécificités du web

3.1. Les liens hypertextes

Les liens hypertexte nous permettent de fournir des informations complémentaires en orientant les internautes vers des articles traitant du même sujet ou d'un sujet voisin. Par exemple, un article sur le café peut contenir un encart présentant divers ressources web sur le café : encyclopédie web du café, sites de torréfacteurs, autres articles abordant le même thème... Le lien hypertexte, c'est la possibilité d'apporter à nos lecteurs de la matière supplémentaire, toujours selon l'objectif (1). De même, le lien hypertexte nous permet de faire connaître plus avant l'espéranto : page de présentation de l'espéranto, liste de ressources internet, liste d'associations... Par contre, ce travail sur les liens hypertexte nécessite un travail éditorial régulier, pour créer puis pour maintenir à jour ces différents répertoires de ressources web.

Exemples d'actions envisageables / hypertexte :

3.2. Les outils de communication

Les outils de communication nous permettent d'interagir avec nos lecteurs et autorisent nos lecteurs à interagir entre eux. Le but ? Créer une communauté autour d'Hadès et des thèmes qui nous sont chers. Une communauté d'échanges entre des lecteurs par ailleurs susceptibles de nous aider, par leurs commentaires et propositions, mais aussi par leur simple existence (pour la motivation).

Exemples d'actions envisageables / interactivité :

3.3. Les outils collaboratifs

Les outils collaboratifs nous permettent de travailler en commun, entre nous, d'abord, mais aussi avec nos lecteurs les plus impliqués ou les plus attentifs. Car, parmi notre communauté de lecteurs, on peut espérer que certains souhaiteront aller plus loin et rejoindre les rangs de ceux qui font Hadès.

Trois outils au moins sont à mettre en place en interne afin de gérer au mieux et en commun les tâches nécessaires à la vie et au développement d'Hadès : préparation des articles, recherche de subventions, commercialisation des espaces publicitaires, secrétariat, comptabilité, gestion des ressources humaines, direction de la publication...

  • Un bloc-notes géant et commun, pour la réalisation conjointe des tâches évoquées. Ce pense-bête, organisé en feuilles consacrées chacune à un thème donné, indiquera les affaires en cours, les choses faites et les choses à faire. Chacun pourra l'actualiser d'un clic après avoir réalisé l'une ou l'autre des tâches. Ainsi, il facilitera le travail en commun, ne serait-ce qu'en rendant visible à tous ce qui est sur le feu, ce qui est urgent et ce qui est à prévoir. Techniquement, cet outil de gestion du travail en groupes est à voir comme un wiki.
  • Un outil pour la correction et la traduction des articles : l'idée est d'éviter les échanges de fichiers entre les personnes impliquées dans la rédaction, la correction, la traduction et la relecture des papiers, en effectuant ces tâches en ligne, sur un unique système de gestion des fichiers. Cet outil doit nous permettre de suivre l'évolution de l'article et de sa traduction, de sa rédactios à sa publication. Chaque article y serait composé d'objets titre, chapô, texte proprement dit et chandelles. Et de la traduction, en face, en espéranto, de ces mêmes éléments. Les éléments en français et en espéranto se feraient face, sachant que, dans un premier temps, les blocs destinées à l'espéranto seraient vides, avant d'être remplis au fur et à mesure de la traduction des éléments correspondants. La traduction ne serait autorisée qu'une fois l'objet en français achevé. Cet outil devrait en outre permettre un suivi des modifications grâce à un historique des versions précédentes et à un surlignage des derniers changements effectués (type suivi des modifications sous Word).
  • Un système d'archives, contenant tous les documents liés au projet, éparpillés sur tous nos ordinateurs personnels : les versions finales des articles parus, les images correspondantes, les dossiers de subventions et les lettres de demandes de fond, les documents administratifs, les calculs comptables... Cette base de données est plutôt statique. Elle contient les documents achevés ou couramment utilisés. Elle est physiquement consultable et modifiable via FTP et via une interface graphique. L'arborescence de cette base correspond à celle du bloc-notes nouvelle génération. Une page y renvoie à un répertoire de nos archives contenant les documents liés à leur thème commun. Idéalement, à chaque nœud et répertoire de cette base de données figure un texte explicatif décrivant en une phrase chacun des documents contenus dans le répertoire.

Hadès peut également être un lieu d'échanges, public, entre lecteurs, rédacteurs et quidams. De ces échanges entre toutes les personnes intéressées par nos thématiques peuvent émerger les thèmes et faits à traiter dans les numéros suivants. Le web serait alors un moyen de concevoir les numéros futurs, non plus entre nous mais avec la participation de nos lecteurs. Plus simplement, le web serait un moyen d'approfondir les sujets traités en y faisant s'exprimer des gens de toutes nationalités et de tous horizons, avec en tête cette idée qu'Hadès, sur le papier comme sur le Web, veut voir les différentes façons de penser ou d'agir face à une situation donnée. Enfin, faire s'exprimer des hommes de toutes cultures, c'est aussi découvrir des journalistes susceptibles de contribuer aux numéros à venir. C'est susciter de nouvelles idées, de nouvelles pistes de réflexion.

Notre lectorat disposerait de trois moyens de s'exprimer :

  • Participer au forum, comprenant au minimum cinq sous-forums, soit un par thématique principale. Un lieu d'expression libre, spontanée, sur le ton de la discussion. Ces discussions à bâtons rompus porteraient sur les articles parus, sur les thèmes proposés pour de futurs numéros et sur les thématiques connexes à Hadès (les langues, l'international...), style ‘fil de discussion' ou ‘laissez ici vos commentaires' ;
  • Proposer des contributions plus fouillées (dans une partie séparée du forum et de l'espace de publication des pages de la revue proprement dite), style petits articles, commentaires ou réflexions organisées, autour d'une des méta-thématiques ou en complément d'un article paru dans Hadès. Ces contributions élaborées seraient publiées sur le site en tant qu'articles complémentaires, à l'issue d'un processus de correction, de validation et de traduction. Elles seraient traitées comme des articles à part entière, mais signalées comme n'appartenant pas à la revue Hadès papier.
  • Proposer des traductions des articles et des contributions volontaires. Des traductions en toutes langues, du swahili à l'indonésien en passant par l'inaktitut. Ces traductions seraient soumises à validation, à l'instar des contributions sur le fond.

Exemples d'actions envisageables / collaboration :

  • Mettre en ligne notre intranet, constitué d'un espace de fabrication des articles, de wikis internes et d'une base des documents relatifs à l'association AdEspéranto
  • Donner à nos lecteurs la possibilité de commenter les articles et la possibilité de proposer des sujets d'articles pour nos prochaines productions
  • Leur donner la possibilité de proposer des traductions d'un article, toujours pour faire d'hades-presse un espace multilingue
  • Leur donner la possibilité de créer leur propre blog
  • Leur donner la possibilité de proposer des articles (NB : les différentes contributions (contributions des journalistes d'Hadès versus contributions de lecteurs) seront à séparer nettement)

3.4. Les bases de données

Informer, nous le faisons d'abord par les articles, puis par les liens éventuels que nous leur adjoignons (dans un espace 'plus d'infos'). Mais nous pouvons aussi le faire à l'aide de bases de données et de moteurs de recherches. Nous pourrions par exemple fournir -automatiquement- des informations linguistiques sur les textes, en guise d'aide à la lecture.

Exemples d'actions envisageables / bases de données :

3.5. Les outils sémantiques

Le web sémantique pourrait transformer la version électronique d'Hadès en une revue adaptative. Une telle revue serait dynamique. Elle ne serait plus constituée d'une suite d'articles préclassés, accessibles par des sommaires, mais fournitait à chaque internaute une compilation d'extraits d'articles adapté à ses attentes. Un internaute interéssé par un sujet donné se verrait proposer un texte composé à partir des articles ou des paragraphes isolés d'articles liés à ce sujet : une synthèse issue de plusieurs sources et contenant une information qui ne préexistait pas à sa compilation.

Exemples d'actions envisageables / web sémantique :

3.6. La forme

Le fond, c'est bien ; la forme, ce n'est pas rien. N'oublions pas l'ergonomie, parce qu'un site facilement navigable, compréhensible, sera préféré à un site équivalent mais dont la présentation laisse à désiser (police de taille 0,2pt, de couleur marron foncé sur fond noir, sans menu pour la navigation...). L'ergonomie contribue à la fréquentation d'un site et notre but n'est pas de faire un site sans visiteurs.

Exemples d'actions envisageables / ergonomie et maintenance :


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"Le projet est le brouillon de l'avenir. Parfois, il faut à l'avenir des centaines de brouillons."

Jules Renard

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