Présents : Emmanuel Villalta, Guillaume Roussel
La Lettre n°1.99 (Lettre d'Hadès d'août-septembre 2005) a été imprimée en 500 exemplaires, en Autriche. Prix des impressions : 114,14€, soit 0,23€ par exemplaire. Pour une impression au format A3 sur papier de couleur. Le prix est légèrement supérieur à ceux pratiqués par le Copyself, à qualité égale. Les Lettres ont par contre été imprimées (numériquement), et non reproduites par photocopie : les trames grises sont donc plus uniformes, la résolution étant quant à elle comparable.
Guillaume a transmis 400 de ces exemplaires à Emmanuel, pour redistribution, les 100 exemplaires restants étant destinés à l'Autriche (distribution via l'Institut Français de Vienne) et aux dépôts légal, administratif et judiciaire. Les dépôts seront faits dans le week-end.
Emmanuel a soumis un dossier de subvention à l'ECF (European Cultural Foundation), sans grand espoir : les subventions sont généralement accordées à des organisations de taille plus importante, professionnelles. Le montant moyen des subventions s'en ressent : 10000€.
Le nouveau dossier pour la Mairie de Paris (troisième version) n'est pas encore achevé, mais doit l'être sous peu. Il visera à financer les Lettres d'HADÈS seules. Un autre dossier sera préparé, et adressé à un service différent, pour le financement d'un numéro 2 trilingue français-espéranto-allemand.
Le dossier pour le département des Yvelines est au chaud, en attente de nouvelles d'un partenariat franco-allemand ou franco-autrichien. À ce sujet, et sur les conseils d'Emmanuel, Guillaume contactera Gregor Hinker.
Un dossier à destination du Centre National du Livre suivra, au prix de quelques contorsions : présentation des aspects 'réflexion', 'analyse', 'métathématiques' d'HADÈS, les aspects 'jeune' ou 'étudiant' disparaissant.
L'ensemble des démarches relatives à la régie publicitaire étudiante Passeport Campus (proposée par le CIPUF) ont été accomplies.
D'autres pistes de financement sont à identifier et à activer au plus vite.
"Le projet est le brouillon de l'avenir. Parfois, il faut à l'avenir des centaines de brouillons."