Si 2004 est une année décevante, côté publication papier, c'est bien parce que nos finances ne sont pas à la hauteur de nos ambitions. La recherche de fonds se fait pourtant selon quatre directions distinctes et complémentaires, qui toutes pourraient nous permettre de faire vivre la revue, individuellement ou en cumulé, le tout s'ajoutant :
- La publicité orientée recrutement, la vente d'espaces publicitaires étant opérée par une régie publicitaire spécialisée, telle que les Éditions des Cassines, la Française de Financement et d'édition, GTI Publishers ou Grande école Communication. Aucune des régies publicitaires citées n'a toutefois osé prendre le risque de se lancer dans l'aventure HADÈSienne, et la parution des numéro 0 et 1 n'a pas suffi à les convaincre du sérieux et du potentiel publicitaire d'HADÈS. Peut-être à l'avenir, avec la parution des numéros suivants ?
- Les abonnements de soutien. Des lecteurs, ayant découvert la revue HADÈS sous ses formes papier ou électronique, l'ont appréciée au point de s'y abonner, pour la soutenir, la revue étant par elle-même gratuite (du moins pour le moment). Ces abonnements, peu nombreux, constituent toutefois une source de financement non négligeable, et un signe encourageant quant à la perception d'HADÈS par son lectorat.
- Les subventions de collectivités territoriales et d'institutions publiques ou privées, telles que la Mairie de Paris, la Mairie d'Orléans, les fondations Hippocrène, BMW ou Alexandre et Marguerite Varenne. Notre recherche de subventions et de bourses a été particulièrement infructueuse cette année. L'INJEP et par son biais le Programme Européen Jeunesse nous ont par contre renouvelé leur confiance.
- La publicité classique, commercialisée par nos soins ou non. La mise en place d'un Service Publicité est à ce titre à signaler. Incarné par Wulfran Kokouvi, chargé des relations commerciales d'HADÈS, il est désormais renforcé par Linda Dagdoug.
Parallèlement, l'association AdEspéranto a adhéré au service de placement média Passeport Campus, régie publicitaire jeune commercialisant de façon non exclusive les espaces publicitaires des revues, magazines et journaux adhérents du Carrefour International de la Presse Universitaire Francophone. Signalons enfin que l'association Espéranto-Jeunes a quant à elle acheté un espace du prochain numéro, afin de soutenir l'initiative HADÈS, moralement et financièrement.
Ces quatre pistes de financements sont à toutes explorer plus avant. La mise en place de notre Service Publicité doit en particulier se poursuivre, tandis que des abonnements de soutien seront sollicités, en particulier par le biais des micro-numéros. Notre démarche est là à voir comme une appel à souscription pour la parution des numéros suivants d'HADÈS.